19 octobre 2015 - 16:53 - Andy Garcia

Wenger, Hoeness et d'autres dans le top 10 des punchlines de Jürgen Klopp !

Les anglais sont unanimes, depuis Mourinho, jamais l'arrivée d'un entraîneur étranger en Angleterre n'a fait autant de bruit. Jürgen Klopp a signé à Liverpool et est donc sorti de sa lethargie après une histoire merveilleuse au Borussia Dortmund. Une histoire liée à son talent d'entraîneur, mais pas que, parce que Klöpp, il savait aussi mettre le feu devant le micro comme l'ont prouvé nos confrères de L'Equipe en allant chercher les punchlines du coach des Reds qui n'a rien à envier aux plus gros salaires de Premier League.

Top 10 des punchlines de Klopp

Le départ de Götze au Bayern

"Götze part parce qu’il est le favori de Guardiola. Si c’est la faute de quelqu’un, c’est de la mienne. Mais je ne peux pas me faire plus petit que je ne suis et apprendre l’espagnol." avait expliqué Klöpp, qui ne digérait pas vraiment de voir l'un de ses meilleurs joueurs partir alors qu'un an plus tard, Robert Lewandowski rejoignait lui aussi la Bavière et l'écurie de Pep Guardiola.

La défaite en Coupe d'Allemagne face au Bayern

"En ce moment, le Bayern fait comme les Chinois dans le monde des affaires. Ils regardent ce qui se fait ailleurs, le copient, mais en mettant plus d’argent." avait ironisé Jürgen Klopp, qui a vu le Bayern s'offrir des espoirs des espoirs du football allemand comme Rode, ce qui se rapproche clairement de la politique entreprise du côté de Dortmund à ce moment-là.

 Son texto à Boateng

«Je lui ai envoyé un texto qui disait : “'Schalke????????“ C’était un bon mec. Enfin, jusqu’à ce matin-là. Pourquoi Kevin? Il jouait à Milan!», ça, c'était le jour où il a appris la signature de Kevin-Prince Boateng du côté de Schalke 04. Et visiblement, ça non plus, il ne l'a pas digéré.

Klopp vs journaliste : KO

"Va te faire foutre ! J'aime te donner des interviews autant que j'aime avoir une rage de dents, oiseau de malheur. Vous avez cinquante personnes à la SWR et tu viens ici pour te faire plaisir...". Stephan Mai a dû être content du voyage en voulant poser une question à Klopp après un match à Kaiserslautern en 2011.

Son premier rouge en tant que coach

"Je suis un peu fier de mon premier carton rouge en tant qu’entraîneur. Je me suis approché du quatrième arbitre, je lui ai dit: "Combien d’erreurs avez-vous le droit de commettre? Si c’est quinze, il ne vous en reste plus qu’une.", voilà comment Jürgen Klopp a été envoyé dans les tribunes pour la première fois de sa carrière, en toute circonstance, Klopp a décidément la classe.

Sur le retour d'Hummels

"On va l’attendre comme une femme attend son époux qui est en prison." avait-il lancé à propos de l'absence de Mats Hummels, celui qui composait sa charnière centrale avec Subotic lorsqu'il était encore à Dortmund. Le défenseur allemand a d'ailleurs annoncé que Klopp allait gagner la Premier League avec Liverpool, rien que ça.

Son tacle sur Wenger

"Wenger aime avoir le ballon, jouer au football, se faire des passes. C’est comme un orchestre. Mais qui joue une symphonie silencieuse. Moi, j’aime le heavy metal." et en effet, Klopp aime le jeu offensif et direct. Si Dortmund maniait bien le ballon sous ses ordres, son attaque avait pour habitude de faire exploser les défenses adverses.

Sur son arrivée manquée au Bayern

"Uli Hoeness doit autant s’en vouloir que les filles avec lesquelles je voulais sortir lorsque j’avais 17 ans et qui, à l'époque, m’avaient mis un râteau.". Le directeur sportif bavarois, à l'époque, avait eu l'occasion de recruter Jürgen Klopp en 2008. Devenu l'un des coachs les plus cotés au monde, Klopp a dû donner un bon paquet de regrets à Hoeness.

Klopp joueur, c'était pas mal non plus

"C’est moi l’entraîneur maintenant. Alors, on arrête de courir, on marche." avait-il lancé lors d'un footing, comme son ancien coéquipier à Mayence, Samuel Ipoua, l'avait révélé à France Football. Il lu iavait aussi glissé qu'il serait un jour le meilleur entraîneur d'Allemagne. Pas si loin que ça...

Avant le retour face à la Juventus

"Nous sommes face à l'un des plus grands défis que l'on puisse affronter dans le football : être opposé à une équipe italienne qui n'a besoin que d'un nul.". En mars dernier, Dortmund était lourdement tombé face à la Juventus au Signal Iduna Park (0-3) en huitièmes de finale de la Ligue des champions. Klopp n'avait donc pas eu tort, une nouvelle fois.

[ Calendriers / Resultats (Liverpool) ]

A la une
Live chat
0 Messages